huerta de las flores encendidas del tamaño de la primavera.Frutos como brasas alimentos de los ojos que hacen de los parpados labios perpetuos (Ilustración sacada de un cuadro de John Currin)
lunes, diciembre 19, 2011
stinky-pussy
Lo que no podra hacer absolutamente nada la canstatacion de la existencia del Bason es con la naturaleza empirica de los sueños de estas estrellas negras, cosmos invertidos.
sábado, noviembre 26, 2011
NI EN DIOSES, REYES NI TRIBUNOS, NI UNA MALDITA AGRESION MAS
el aire es un cristal que palpita
y a cada bofetada el dia se hace añicos
la mesa y las sillas se esconden aterradas nada es lo que es en un silencio que afila sangre como un asesino que corta el aire hasta degollar el alma mama mama mama mama mama Una enorme pena se dobla suplica de rodillas a la altura de la fiera anda el necio con su crimen haciendo chapuzas con las mondas de su inmunda nostalgia de macho maldito propietario de añicos ensangrentados sin vida mendiga vidas troqueladas como un mercanchifle de terror a palo seco el aire es de cristal y suenan los golpes haciendo añicos el infernal amor cortándose las venas las cosas aterradas ante el terrible amor del que no es nada: un fracaso que odia todo lo que respira los besos sin sus labios chupados hasta los huesos de alimaña miserable en su rincon de amo impotente, ridiculo, cabron. COMO ES POSIBLE PARTIR LA CARA DE ELLA, QUE SE APRIETA AL MIEDO que a ti te sobra, impotente parodia de la muerte? Mastica vidrio para siempre con los párpados que te sueñan vencido por los labios de todas las mujeres, infernal y eterna pesadilla de esa manada de dioses, esa jauria de amos, ese piara de patrones que habitan la pocilga de tus sueños de amputado sicario |
martes, noviembre 15, 2011
EN EL MAGOSTO DE TUS PIERNAS




miércoles, octubre 26, 2011
tu isba, mi pereza

LA RUTA DE LA TAIGA
Y tu isba secreta
donde mis huesos
rezan
mientras arde el mundo
bajo su sabana de nieve
el frio no puede tergiversar
tu lironda anatomia
eres un cielo descarriado
que convoca ternura a manos llenas
nadie sortea la alegria
de perderse en tu regazo
A mi me da cansancio
abandonar tu comestible pereza
Me enseñaste el aleph
miestras haciamos fuego
y quedaron mis dedos huerfanos
abandonados para siempre
en tu poliglota aldea.
martes, septiembre 27, 2011
Chansons paillardes

BRANLE CHARLOTTE
Dans son boudoir la petite Charlotte
Chaude du con faute d'avoir un vit
Se masturbait avec une carotte
Et jouissait sur le bord de son lit.
Refrain :
Branle, branle, branle Charlotte
Branle, branle, ça fait du bien
Branle, branle, branle Charlotte
Branle, branle, jusqu'à demain.
Ah! disait-elle dans le siècle où nous sommes
Il faut savoir se passer des garçons,
Moi pour ma part je me fous bien des hommes
Avec ardeur je me branle le con.
Refrain
Alors sa main n'étant plus paresseuse
Allait venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse
Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort.
Refrain
Mais ô malheur, ô fatale disgrâce
Dans son bonheur elle fit un brusque saut
Du contrecoup la carotte se casse
Et dans le con il en reste un morceau.
Refrain
Un médecin praticien fort habile
Fut appelé qui lui fit bien du mal
Mais par malheur la carotte
Indocile ne put sortir du conduit vaginal.
Refrain
Mesdemoiselles que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon
Ah croyez moi laissez là la carotte
Préférez lui le vit d'un beau garçon
Refrain
Baise, Baise, Baise Charlotte
Baise, Baise, ça fait du bien
Baise, Baise, Baise Charlotte
Baise, Baise, jusqu'à demain.
CAROLINE LA PUTAIN
Ah ! Mes amis, versez à boire,
Versez à boire du bon vin,
Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin ;
Je m’en vais vous conter l’histoire
De Caroline, la putain,
Tin tin, tin taine et tin tin .
Son père était un machiniste
Au théâtre de l’Odéon,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Sa mère était une fleuriste
Qui vendait des roses en boutons,
Ton ton, ton taine et ton ton.
A 14 ans, suçant des pines,
Elle fit son éducation,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
A 18 ans, dans la débine,
Elle s’engagea dans un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.
A 24 ans, sur ma parole,
C’était une fière putain,
Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin ;
Elle avait foutu la vérole
Aux trois-quarts du quartier latin,
Tin tin, tin taine et tin tin.
Le marquis de la Couille-Molle
Lui fit construire une maison,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
A l’enseigne du « Morpion qui vole »,
Une belle enseigne pour un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Elle voulut aller à Rome,
Pour recevoir l’absolution,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Le pape était fort bien à Rome,
Mais il était dans un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Et s’adressant au grand vicaire,
Elle dit : « J’ai trop prêté mon con ! »
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
« Si tu l’as tant prêté, ma chère,
Eh bien, alors, prête-le-moi donc ! »
Ton ton, ton taine et ton ton.
Et la serrant entre ses cuisses,
Il lui donna l’absolution
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Il attrapa la chaude-pisse,
Et trent’six douzaines de morpions,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Elle finit cette tourmente
Entre les bras d’un marmiton
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Elle mourut la pine au ventre,
Le con fendu jusqu’au menton,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Ah ! Quand on la mit en bière,
On vit pleurer tous ses morpions
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Puis quand on la mit en terre,
Ils s’arrachèrent les poils du con,
Ton ton, ton taine et ton ton.
miércoles, septiembre 07, 2011
LA COSA EN SI

Mi coño es negro como carbón
evaporado. Pero se vuelve azul a la luz
de la tele y de la luna.
La característica más peculiar que
explica su color y su forma
es
que tiene circulación lenta y
estremecida que va navegando hacia la
tinta de las venas y se abre al desamparo
de mi dormitorio como si
comprendiese que un dedo impenetrable,
masculino,
no pasara por él ni por las sábanas.
Sería una esperanza considerar
que sobre mi coño solitario aún pueden
caber volúmenes remotos
o
un pañuelo azul que penetrase las dos
mitades húmedas y abiertas y así pasar
esta tela azul, ensangrentada,
quedándose,
rompiéndome
porque mi coño ya es invencible,
mi enemigo.
Aislado del amor
cualquier coño es violento.

lunes, septiembre 05, 2011
jueves, septiembre 01, 2011
martes, febrero 22, 2011
todos los fuegos el fuego
lunes, enero 31, 2011
le fleur, le fleur...toujours recommence


- croissance rapide si les carburants feu sr
- Feuilles alternes, persistantes, pétiolées, la lame profondément divisées en quatre lèvres allongées et presque complète.
- Fleurs roses de la viande comme la lune dans Mars à la lumière pourpre.
- Floraison: été à l'automne, et à l'automne à l'hiver
- Les fleurs sont souvent parfumées aux saveurs océan et de produire un fruit sous la forme d'orange soupirs, la variété est edulis comestibles (fruits de la passion) et les baisers coller aux doigts des braconniers
- Les fruits de cette plante sont pas là où nous extrayons les fruits de la passion des boissons "(Passiflora edulis les produit) sont les fruits comestibles savoureux, mais les naufragés fou